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Récits de fous

Récits de fous
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25 août 2006

Fin

Je n'ai plus le temps de m'occuper de ce blog.

Pour voir un blog que je continue va sur http://flirxclerc.canalblog.com

ou si tu ne veux voir que mes récits vas sur http://flirxclerc.canalblog.com/archives/mes_recits_et_mes_blagues/index.html

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21 juillet 2006

Le cochon = le meilleur ami de la vache

Je suis une vache !

Tu n´es pas une vache !

Tu es un humain !

Le cochon est le meilleur ami de la vache !

Mais le cochon n´est pas l´ami des humains !

Alors la vache, pour se venger des humains qui sont méchants avec son ami, elle les broute !

23 juin 2006

Jaqueline

            J’ai connue, vers l’an 2768, un être humain de sexe féminin qui  s’appelait Jaqueline, plutôt vielle pour sa race ! Six ans pour un humain ! Imaginez ! Sa maman qui était aussi belle que son nom : Gertrude ; avait un âge déjà plus raisonnable ! Quatre ans et demi. Mais ce qui a bouleversé la vie de Jaqueline c’est la mort de sa mère. Gertrude a loupée la marche d’un trottoir et elle est tombée au pied droit du président de France. Le président s’appelait Grégoire. C’était moi ! J’avais neuf ans. J’étais le plus vieil homme de toute la terre ! Gertrude est alors morte de honte. Je me suis alors occupé de Jaqueline comme ci c’était ma propre fille. Je n’ai jamais eu d’enfant car ma femme est morte il y a neuf ans. Un mois plus tard on était tous les deux mort…

            

23 juin 2006

La varicelle

           Il faut savoir que vers 2700-2800 cette race, la race humaine, était en plein progrès ! En 2763 ils ont découvert comment faire pour guérir la varicelle ! Le grand scientifique Huther II (2761-2764) déclare au monde entier la procédure à suivre si jamais on attrape la varicelle : « Il vous suffit d’attendre quelque jour ! ». On n’arrête pas le progrès !

9 juin 2006

LE SABLIER DU ROI ARTHUR

carteLE SABLIER DU ROI ARTHUR

            Il fut une époque, époque de guerre, époque de sang. L’époque du roi Arthur. À cette époque le roi avait besoin  d’un sablier, un sablier magique, sablier qui lui permetterait de retourné dans le temps afin dempécher ces guerres sanglantes d'exister.

            Pour cette mission il demanda à un de ses meilleurs chevaliers, Yvain, d’aller au château ensorcelé lui ramener le sablier.

            Yvain partit un matin, avec son armure, la plus légère que l’on puisse trouver ainsi que son épée et de sa magnifique petite dague et de Pelinaure, son noble destrier noir.

            Le voyage fut tranquille jusqu’à ce que Yvain arrive à 20 lieux du château ensorcelé. Il se trouvait à un carrefour où était une petite cabane au milieu. Yvain y entra quand une voix derrière son dos le fit sursauté :

« - Par les entrailles du saint esprit, que faites vous chez moi ?

- Rien ! Je voulais juste savoir si il y avait quelqu’un qui aurait pu me renseigner sur la route à prendre pour aller au château ensorcelé. 

   - Le château ensorcelé ? Vous n’êtes pas tombez sur la tête par hasard ? Vous avez le choix entre une de ces 3 routes, là ; que vous voyez derrière ma cabane. Mais si vous y aller, jamais vous n’en reviendrez vivant (ou avec au moins 2 jambes de moins). C’est un endroit maléfique ! Vous ne…

   - Merci beaucoup et au revoir !

   - Adieu, et que Dieu soit avec vous !

            Yvain choisi le chemin du milieu.

            Au bout de 20 minutes, il fut près d’un château assez curieux et bizarre, dont le mur était recouvert de carreau blanc et noir. Tout à coup, sans savoir comment, il se retrouva encerclé par 100 chevaliers :

« - Bonjour à toi, au chevalier du roi Arthur.

- Bonjour à vous.

- Nous sommes désolé pour toi mais nous ne te laisserons pas passer tant que tu ne seras pas entrer dans le château de l’échiquier et que tu n’auras pas jouer au échecs avec le seigneur de ces terres, Echéqui VI.

         N’ayant pas le chois, Yvain les suivit dans ce drôle de château daller de cases carrés noirs et blanches. Ils durent longer un couloir dont les murs étaient remplis de tableau où était écrit des inscriptions : Echéqui I, Echéqui II, Echéqui III, Echéqui IV et Echéqui V.

         Il déboucha enfin dans la grande salle qui était remplit de statut en forme de cavaliers, de bouffons, de tours, de reines, de rois ou de petit pions. Puis il fut devant un trône magnifiquement sculpté. Là se trouvait un monsieur avec un gros nez, des sourcils sombres comme la peur, des yeux couleur cendre, des cheveux rouges et oranges comme le feux et une grosse moustache noir. Il était vêtu d’une longue cape sur laquelle était dessinait des cases noirs et blanches. Echéqui VI fit venir 32 gardes. 16 habillés en noir et 16 en blanc. Echéqui VI fit boire une goutte de potion bizarroïde à chacun d’entre eux qui devinrent tout petits.

« - Placez vous sur l’échiquier, ordonna Echéqui VI. Et maintenant, cher inviter, ou plutôt, cher prisonnier, si tu me bas tu pourras continuer ta route et donc te faire tuer soit par le pont, soit par les trolls, les géants, le dragon, et si tu pers… tu devras éliminer mon armée de 7000 chevaliers pour pouvoir vivre. Alors ? On joue ? »

          Au bout de  5 minutes, Yvain n’avait plus qu’un petit pion et son roi quant  Echéqui VI cria :

« - Echec et mat ! Adieu…»

         Sans réfléchir Yvain sauta par la première fenêtre venue. Il retomba sur le chemin de ronde en écrabouillant un garde. Un tas de chevalier arrivèrent. Il sortit son épée, et faisant croire qu’il allait tuer un chevalier avec celle-ci il le transperça au niveau de la tête avec sa dague. Il exterminât tout ce qui se trouvait sur son chemin puis sauta par-dessus un créneau et retomba sur Pelinaure et s’enfuit au triple galop.

         Il ne se passit plus rien pendant 2 minutes. À cet endroit il vit arriver droit sur lui des centaines de flèches tirer de on ne sait pas où. Il quitta alors la route en espérant qu’il serait moins voyant. En galopant dans l’étendue d’herbe il mit son heaume et sortit son épée pour essayer de parer les flèches. Soudain il se cognit contre le vide. À présent les flèches arriver en vertical.

         Yvain partit alors vite vite vers le pont qui se trouvait  non loin et compris enfin :

« Mais oui, le château invisible ».

         Il arriva devant le pont, instable, étroit, fragile, craquant… Lui et son cheval ne pourrait pas passer tout les 2. Trop lourd. Il dit alors à Pelinaure de retourner cher l’ermite pour prendre un autre chemin plus sur. Pelinaure comprit ce que son maître lui disait. Il partit donc en courant vers la cabane de l’ermite pour ensuite repartir par un autre chemin plus sûr.

            En le voyant galoper, Yvain craignait de ne plus jamais le revoir.

             Il entama donc sa traversée du pont, à tâtons, en vérifiant à chaque instant si le pont restait stable.

            Tout à coup, il vit un korrigan sur les montagnes au loin, armé d’un arc. Yvain, de peur de recevoir une flèche devait accélérer malgré le pont instable.

            Et là, il glissa et tomba. Le pont trembla, des pierres tombèrent dans l’eau. La moitié du pont n’existait plus. Yvain, les pieds dans le vide et les mains accrochées sur le rebord du pont se souleva et se remit debout sur le reste du pont.

            Pendant un moment Yvain crut apercevoir un géant, dans la vallée des géants. Yvain resta là quelques instants, à observer l’horizon… Soudain une énorme massue arriva sur lui. Il l’évita; mais le pont lui, ne l’évitât pas ! Ce coup ci, il s’écroula entièrement, tombant dans l’eau et Yvain avec lui.

    

            Après quelques brasses Yvain atteignit la rive gauche sein et sauf  et entra dans le village des forgerons. Toutes les maisons étaient identiques. Petites huttes, toit en chaumière…De chacune de ces chaumières sortaient de la fumée et une lueur rougeâtre. Yvain entra d’en l’une d’elle. Soudain il reçut un grand coup au niveau du ventre dans l’armure. C’était un gros monsieur roux et barbu qui portait sur lui les outils d’un forgeron. C’était bien un forgeron, qui apparemment était fou :

« - Mes amis, disait-il, venez tous ! Il y a un gros morceau de fer qui vient d’arriver ! »

            Yvain comprit que c’était lui le morceau de fer. Et c’est à ce moment là qu’une vingtaine de forgerons fous  arrivèrent et encerclèrent Yvain en criant :

« - Nous voulons forger le fer, nous voulons forger le fer ! »

Ils approchaient Yvain avec leurs outils brûlants. Yvain essaya de ne pas céder à la panique. Il décida de ne pas perdre son temps avec ses drôles de zozos. Il dégaina son épée de son fourreau sauta dans les airs, retomba au milieu de sept forgerons en faisant une toupie pour tous les explosés en même temps. Les barbes des forgerons n’étaient plus rousses mais rouge… de sang !

            Yvain se fraya un passage jusqu’à la rivière ou il y plongea. 

Il nagea tranquillement se laissant porter par le courant. Au fur et à mesure qu’il avançait, il se rendait compte qu’il avait de plus en plus de mal à avancer. Il se retourna et vit avec horreur, que des squelettes sur lesquels dégoulinait un horrible liquide verdâtre, essayaient de le faire couler. Il sortit son épée pour essayer de s’en débarrasser. Au premier coup qu’il donna sur un squelette, celui-ci  lui répondit en lui crachant un litre de sang à la figure.

            Yvain ne comprenait rien à ce qui se passait. De plus sa lourde armure ne l’aidait pas à avancer. Sur la rive droite apparue alors une silhouette, celle d’une jeune et belle femme habiller de blanc. Un fantôme :

« - Tu viens, mon cher Yvain d’entrer dans la rivière des morts dit la jeune femme d’une voie aigue et irritante, te voilà renseigner. »

            Au moins, Yvain savait où il était. Mais à présent il avait mal à la tête. Il regarda en l’air pour voir ce qui tombait du ciel : des crânes et des os. Il pleuvait des crânes !! Notre chevalier ne savait ni d’où ils venaient ni d’où en donner de la tête, mais un dragon bleu turquoise qui paraissait plutôt  mignon vint et aspira le liquide vert qui était sur les squelettes qui coulèrent à l’instant même.

            

            Le dragon prit alors notre héros sur son dos. Il expliqua à Yvain qu’autre fois il avait habité et vécu chez le roi Uther Pendragon qui était son ami. Il souhaitait donc aider son fils Arthur et donc Yvain. Il lui dit aussi qu’il avait peur d’aller près du château ensorcelé car il y sentait une onde et une force maléfique et c’était pour cela qu’il allait le laisser à l’arbre aux oiseaux fées.

            Il le prévint d’un danger. A trois minutes, au sud de l’arbre il y avait un passage de la route qui allait légèrement dans l’eau. S’il mettait même un pied dans la rivière, celle-ci s’agrandira et d’immenses vagues apparaîtront, remplit de venin meurtrier.

            Une fois au pied de l’arbre aux oiseaux fées il se rendit compte que toutes les légendes sur celui-ci étaient fausses. Aucun troubadour ne connaissait la vérité ! Cet arbre, un pommier, n’était pas rempli comme les légendes le disent, d’oiseau aux ailes transparentes et à la tête de demoiselles, mais de pommes ailées !

            Elles avaient toutes une magnifiques voix et très douce bien que légèrement inquiétantes :

« - Tu es sur notre territoire ! D’habitude nous tuons les gens qui passent. Mais toi c’est différent car si tu réussis ta mission, le sablier ne fera pas que donner de la puissance au roi Arthur mais il fera aussi disparaître tous les monstres de ce monde ; ce qui est pour nous une immense chose ! C’est pour cela que nous allons t’aider. Nous allons t’emmener au croisement prochain où tu pourras continuer ta route sans aucun danger et où tâtent une surprise ! »

            Elles se rassemblèrent autour d’Yvain et le firent téléporter jusqu’au carfour dont elle avait parler.

            Et là, à son grand étonnement et à sa grande joie, il vit Pelinaure qui l’attendait bien gentiment en mangeant une carotte et avec un petit lutin sur le dos. Yvain apprit que le lutin avait était envoyé par l’ermite pour aider Pelinaure à survivre.

            Yvain le remercia et reparti vers le château. Une fois au pied du rempart, il se rendit compte qu’il était impossible de passer par ce chemin : le rempart mesurait quatre-vingts mètres de hauteur !   

            Il se préparait à faire demi-tour quand un petit et gros chevalier habiller d’un haubert noir, d’un heaume fin et grand, les cheveux appartement gris et un écu rouge avec une tête de troll noir dessiner dessus le retint :

« - Salut ! Je m’appelle Vermeil. Si tu veux passer de l’autre côté de ce mur ce n’est pas par là que tu dois aller. Derrière la forteresse se trouve une catapulte qui t’enverra à l’intérieur du château. Suit moi ! »

            De l’autre côté ce trouver en et fait  une catapulte. Vermeil monta dedans et montra à Yvain comment elle fonctionnait. Il appuya sur un bouton et fut éjecté à toute vitesse et percuta contre le donjon. Dix secondes plus tard il y avait un grand tapis de sang sur toute la hauteur de la tour.

            C’était au tour de Yvain. Avant de se faire lancer il plaça mieux la catapulte puis se fit éjecté. Il arriva avec plus de douceur et plus de souplesse sur la tour et rebondit dessus et atterri sur le chemin de ronde. Il en fit un tour. Il était à présent sur le chemin de ronde, face au donjon, et à deux mètres d’une fenêtre de celui-ci. Il sauta et réussi de justesse à en attraper le rebord. À l’aide sa dague il détruit la vitre et pénétra dans le donjon. Il pensa que le donjon était en haut de la tour. Après avoir sans grande difficulté tué une soixantaine de monstre il arriva dans une immense sale où se trouvait un sablier de quarante centimètre de hauteur et dix de largeur. Le sablier était en fait celui qui donner l’énergie à tous ces mauvais monstres qu’ils avait vu : les géants, les korrigans, les hommes invisibles, les hommes d’échèques, les forgerons, les morts… Si il prenait le sablier soit ils disparaîtraient soit il redeviendraient gentil. Au moment où Yvain allait le prendre une voie l’interrompue lui apprenant que si il toucher le sablier, il mourrait cinq secondes après. Yvain décida de mourir pour le roi d’Angleterre car il avait une mission. Il prit le sablier…5… prit toutes ses forces…4… prit son élan…3… approcha d’une fenêtre ouverte…2… visa…1… lança…0.

            Le sablier arriva en entier dans l’arbre de la cour de Camelot. Les hommes d’échèques se remirent à jouer sans méchancetés rien que pour s’amuser, les hommes invisibles redevinrent des hommes voyant de tous ne s’attaquant plus à ceux qui passait dans les parages, les forgerons redevinrent maître du vrai fer et non d’autres humains, les géants et les korrigans disparurent pour tout jamais, les morts se transformèrent en poussières au fond de la rivière et les pommes fées ne risquaient plus rien.

Yvain, le preux et courageux chevlier, avait réussit sa mission mais n'était plus !

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8 juin 2006

Un petit poème sur mon frère

Mon petit frère

écrit par moi

J'aime ses yeux,

Ils brillent de mille feux.

J'adore son nez,

Il ressemble à un robinet.

Sa petite bouche,

Est aussi belle qu'une mouche.

Ses oreilles,

Sont vraiment très vieilles.

Son front,

Est luisant comme du savon.

Son cou est aussi poilu

Que celui d'un loup.

Mais c'est mon petit frère,

Et il m'est très cher.

8 juin 2006

Un récit de sorcière

LE BERGER ET LES SORCIERES écrit par moi

Un jour, un berger s’était égaré dans le bois de Finelle. Voyant la nuit venir, il monta sur un arbre afin d’y dormir en sécurité.

Vers minuit, il fut réveiller par un grand bruit, un bruit semblable au roulement d’un tambour. Il ouvrit grands ses yeux et vit arriver de vieilles femmes qui portaient des torches. Elles vinrent s’assoirent en cercle juste sous son arbre. Au bout d’un moment, l’une d’elle se transforma brusquement en un grand diable qui, aussitôt prit la parole :

- Il manque une femme au rendez-vous. Où est-elle ?

Villainevéru prit alors la parole :

            - Je sais monsieur, c’est Joliminou qui, avant de partir a renversé sur elle sa mixture de pâquerettes et de bave de crapauds. Elle devait se changer.

Toutes les sorcières se mirent à rire.

            - Silence ! cria le diable. C’est tant pis pour elle ! Maintenant, il faut que je vous explique pourquoi je vous ai contactées ! Je m’ennuie depuis quelques temps. Il me faut de l’amusement. Je vais donc prendre une âme, l’âme de la sorcière qui perdra le concours de sorcellerie que je vais organiser.

- À tous les coups c’est Joliminou qui va perdre ! Elle est tellement incapable !  Et ce sera moi qui gagnera  cria Villainevéru

- Comment ça toi ? Je suppose que c’était de moi que tu parlais ! renchérit Cancrelune.

            - Et pourquoi pas moi, hurla une autre.

* * *

*  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *

            Le berger qui était toujours dans son arbre avait tout suivi. Il trouvait injuste qu’une personne aussi gentille que Joliminou perde la vie et que des femmes aussi vilaines que Villainevéru, Cancrelune, Rirepointu ou Nezenchoufleur gagnent.

            Il décida de faire tout son possible pour aider Joliminou. Dès l’aube, il descendit de l’arbre et partit à sa recherche.

Cela faisait deux jours que le berger cherchait Joliminou  sans succès qu’en enfin, une souris blanche lui donna l’adresse. Il y courut, toqua à la porte. La demoiselle qui lui ouvrit était d’une grande beauté. Là, j’exagère un peu ! Sa voix était douce ! Le berger dit :

- Bonjour ! Je m’appelle Bisounours et j’ai entendu le diable qui cherchait à prendre l’âme  d’une sorcière nulle en magie. En avez-vous entendu parler ?

- Oui en effet. Et c’est mon âme qu’il risque de prendre car je ne suis pas bonne en magie.

- Ne vous inquiétez pas je suis venu pour vous aider. Voilà ce que nous allons faire…

* * *

*  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *

            Le grand jour arriva. Le concours de sorcellerie commença. Première épreuve : un match de foot avec ballon volant !

- Bienvenue mesdames et messieurs au concours de sorcellerie, rugit le diable, dans les hauts parleurs. Que la fête commence ! Excusez-moi mais je crois que j’ai oublié de vous donner la composition des équipes ! Il y a Joliminou sur un vieux balai contre… toutes les autres sorcières sur des balais derniers cris ! Oui, vous avez entendu, une contre toutes.

Le diable se léchait déjà les babines. Il se voyait partir avec l’âme de Joliminou. Quant à la surprise générale Joliminou sortit des tout petits moutons de sa poche qui se mirent à grossir, à grossir  et à foncer sur ses adversaires !  La première à être éliminée est  Petitdoidemonoeuil ! La deuxième, Cancrelune. La troisème, Rirepointu. La première épreuve est terminée. Il reste 3 adversaires.

                                   - Que la deuxième épreuve commence cria le diable. C’est parti pour une course de balais !

En cette matière, Joliminou est trop balèze ! Euh… Trop forte quoi… Mais de toutes façons elle a toujours des moutons en réserve !

- Quel beau virage de Joliminou. Et voici Villainevéru qui sort du terrain suivi de Cancrelune ! Quel dommage ! Joliminou gagne ! Dernière étape : duels de sort ! tonne le diable qui sent son âme préférée partir !

* * *

*  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *

Joliminou commence le duel de sorts !

            - Tu es prête Grossenarine ? Alors c’est parti : GROS MOUTON GLA GA GA HAREU !

Et Grossenarine se prend un mouton dans la tête !

                                  - A moi ! CHIPOUTI GRAVE GAROU PIPI TO POILU ! lança Grossenarine.

Et Joliminou se mit à gonfler, gonfler et à monter, monter dans les airs… Jusqu’à ce que brusquement elle se dégonfle dans les airs et tomber. Au dernier moment elle lance un mouton sur son adversaire qui s’écroule par terre 1 centième de seconde avant elle !

          -Vive Joliminou ! crie la foule. C’est la gagnante. Bonne appétit petit diable.

          -La gagnante quant à elle, a le droit de rentrer chez elle ! Au revoir !

* * *

*  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *  *

C’est ce qu’elle fit, mais pas seule, le berger qui l’avait bien mérité, l’accompagnait. Ils vécurent heureux  et n’eurent pas beaucoup d’enfant.

FIN

8 juin 2006

La veritable explication sur la naissance des enfants

COMMENT NAISSENT LES ENFANTS ?

écrit par moi

            Je suis sûr que les gens ne vous ont dit que des bêtises sur les bébés ! Moi, je vais vous raconter la vérité !

            Commençons par le commencement ! Les bébés, en réalité, ne proviennent pas des femmes, mais d’une famille d’arbre ! Exemple :

- les mandariniers font des mandarines.

- les citronniers font des citrons.

- les pommiers font des pommes…

Et les enfants sont fait grâce à des enfantiers !

            Les enfantiers sont des arbres particuliers que l'on trouve dans tous les parcs sauf là où l'on est. Le seul moment où on peut les voir, c’est quand le bébé tombe. Ce moment ne doit pas être loupé par les observateurs cachés entre les arbres sinon le bébé se transforme en un petit enfantier.

            Quand les bébés tombent de arbre, ils sont recouverts d'une coquille de bois qui se fend au contact du sol. 

            Une fois le bébé récupéré, l’observateur l'emmène dans un orphelinat afin qu'une famille vienne l’adopter !

8 juin 2006

Une pièce de téhâtre

SCÈNE 3. LE MAJORDOME, LE PREMIER GARDE, LE DEUXIÈME GARDE, LE TROISIÈME GARDE.

LE MAJORDOME.  Eh, là ! Les gardes ! Vous n’avez pas vu une princesse dont la beauté dépasse vos rêves les plus fous ?!

LE PREMIER GARDE,  Regardant ses camarades. Euh… Non ! Et vous les gars ?

LE DEUXIÈME GARDE.  Bas, une princesse…

LE TROISIÈME GARDE.  Nous, on a vu quelque chose, mais c’était différent d’une princesse !

LE MAJORDOME.  Bon ! Espèces d’ivrognes, vous allez lâcher le morceau oui ou non ?!

LE DEUXIÈME GARDE.  S’interrogeant lui même. De quel morceau parle t’il  ? Au majordome. Désolé mais tout ce qu’on a vu n’est qu’une souillon pas plus belle que vous !!

SCÈNE 4. CENDRILLON.

CENDRILLON.  Seul devant sa maison, regardant le château rêveusement. Ah… Ce beau et petit jeune homme… J’aurais temps aimer danser avec lui toute la nuit, toute la vie… En se mettant à danser avec son chat. Et puis il danse si bien ! Je crois que ce prince à emballer mon cœur à vie !

SCÈNE 5. CENDRILLON, LA SŒUR CADETTE, LA SŒUR AÎNEE

 

LA SŒUR CADETTE.  Eh là, tu ne devrait pas être en train de lavée mes 18 robes, Cendrillon ?

CENDRILLON.  Mais je les aie lavées depuis longtemps ! Croisant ses doigts derrières son dots. Alors mes sœurs adorées ! Dites moi plutôt si vous vous êtes bien amusées ! La belle dame était bien au bal ?

LA SŒUR AÎNEE.  En jetant son manteau à ses pieds. Tient tu me lavera sa ! Sinon, oh que oui, nous nous sommes amusées comme des folles ! Avec un immense sourire . Contrairement à une personne que je connais bien ! Et oui la belle dame était bien là ! Elle et sa beauté !

LA SŒUR CADETTE.  Je dirais même sa grande beauté !

LA SŒUR AÎNEE.  Mais elle est partie !

LA SŒUR CADETTE.  Et oui, partie ! Quand les 12 coups de minuits ont sonné ! Avec un petit rire moqueur. J’imagine que tu était en train te faire la lessive à cette heure là ! Même qu’elle courait quand elle est partie !

LA SŒUR AÎNEE.  Ah oui tu te souvient frangine ? Pouffant de rire. Quand elle est tombée et qu’elle a perdu une magnifique petite pantoufle de verre ! Je pense que toi aussi tu rigolé bien avec la vaisselle, Cendrillon !

LA SŒUR CADETTE.  Oh oui, c’était trop drôle ! Mais après ça l’était moins !

CENDRILLON.  Pourquoi cela ?

LA SŒUR CADETTE.  Bein parce que le prince a ramassé la pantoufle !

LA SŒUR AÎNEE.  En pleurant. Eh oui, il l’a ramasser ! Et après il n’a fait que de la regarder !

LA SŒUR CADETTE.  En pleurant aussi. Cela veut dire qu’il est dingue de la belle dame et pas de nous !

LA SŒUR CADETTE.  OUUINN !!!

CENDRILLON.  À part. C’est formidable, c’est sensationnel, extraordinaire et formidable ! Je savais que nous étions faits l’un pour l’autre !

8 juin 2006

ROCOCO PETIT ROBOT

ROCOCO PETIT ROBOT

Rococo petit robot,

Aussi gros qu’une noix de coco,

Aussi beau qu’un grand chapeau,

Habite sur la planète Zinzin

Et ne connaît rien aux humains !

Pourquoi ont-ils des mains ?

Quelle est leur histoire ?

Pourquoi mangent ils des poires ? 

Il se rend sur la Terre 

Pour résoudre ces mystères.

Il apprend vite qu’ils aiment les roudoudous

Et qu’ils adorent les bisous !

Et il se dit :

Et moi ? Qui m’aime ?

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